Garantie à vie sur tout le matériel !!! En savoir plus
Votre selection personnalisée

Pas de résultats pour votre recherche.

Découvrez tous les autres modèles de cigarette électronique

Encore une fois, les résultats d’une certaine étude sur la cigarette électronique a fait le buzz sur les médias et détracteurs de la vape n’ont pas attendu longtemps avant d’appuyer sur le mauvais bouton. Depuis un certain moment, le lobby anti-vape passe dorénavant par toutes les canalisations et c’est surtout au niveau des études et recherches scientifiques qu’il agit pour tenter de décrédibiliser le vapotage. Cependant, il faudrait mettre la lumière sur les vraies études objectives et les « études anti-vape » traditionnelles. C’est en effet le cas de cette recherche faite par le Cancer Research UK qui a tenté de mettre en évidence la relation entre la cigarette électronique et le tabagisme, devenue victime d’interprétations malencontreuses. D’un point de vue général, le thème de cette opération relève d’un grand intérêt car, d’une part, elle est entreprise dans une quête de résultat sur la probabilité de l’incitation de l’e-cig sur les jeunes. Et d’autre part, c’est un sujet sensible qui pourrait favoriser la vape ou les détracteurs selon les résultats.

Que fait la CRUK ? Et Pourquoi tant d’intérêt sur le sujet ?

La Cancer Research UK est une institution basée au Royaume-Uni, travaillant sur la recherche de données scientifiques pour analyser et combattre le cancer. C’est une association caritative puissante (634,8 millions de Livres) avec une expérience de plus de 18 ans (fondée en 2002). Sa marge d’étude s’étend à tous les produits susceptibles de contracter le cancer dont le tabac. Sa notoriété est ainsi posée et ses activités (ses recherches) sont considérées comme essentielles pour la science et pour la santé publique dans une large mesure. D’autre part, c’est une association caritative qui n’est liée à aucune autre forme d’organisation pro ou anti-tabac. Depuis quelques temps, la vape entre dans sa mire car son effet social et son impact sur la santé publique doivent être mis en évidence, d’où l’intérêt de la CRUK sur la relation entre cigarette électronique et tabagisme.

L’étude particulière effectuée par le King’s College London a été financée par l’association pour permettre de statuer sur la question relationnelle entre la vape et le tabagisme. Après la communication des premiers résultats, la presse anti-vape s’est empressée d’interpréter et de traduire la recherche en langage profane pour, une fois de plus, décrédibiliser la vape. Effectivement, l’analyse a fait ressortir une certaine relation à double sens entre le tabac et la vapote, d’où les déclarations criantes des détracteurs sur « la cigarette électronique cancer ! », « ecig dangereuse » ou encore «  cigarette électronique danger ! ». Pourtant, la portée de cette déclaration n’a pas été traitée de la manière qu’il faut, car en aucune manière l’article a assuré la provocation d’une quelconque dépendance, et n’évoque pas la question du tabagisme actif. C’est pour des raisons d’interprétations erronées et d’informations inexactes de ce genre que les institutions doivent éclaircir leur position, dans le sens où l’enjeu de leurs études provoque un effet gigantesque sur les médias, la société, la politique et l’économie. D’ailleurs c’est ce que la CRUK effectue après les folles réactions.

La Cancer Research UK rectifie le tir

Après avoir statué sur les résultats des recherches sur la potentialité de l’effet passerelle entre la cigarette électronique et le tabagisme, l’institution a constaté la mauvaise tournure que ce thème a pu déclencher et s’est vite empressé de calmer les ardeurs. En guise d’éclaircissement, un responsable de l’étude a déclaré que la probabilité qu’un jeune puisse être tenté par la cigarette électronique et basculer vers la tige de cigarette est possible. Cette possibilité n’identifie en rien le caractère d’introduction entre le tabagisme et la cigarette électronique car c’est le fait de fumer qui entraine l’action vers l’e-cig et ses propriétés (e-liquide tabac, propylène glycol/ pg, glycérine/vg, …)

Le point d’ancrage de cette déclaration se base sur une constatation scientifique qui est toutefois dénuée de toute autre perspective technique (pas de déclaration sur l’étude des produits cancérogènes, formaldéhydes, effets de la température et de l’inhalation…) d’ailleurs, les résultats de la recherche n’ont apporté aucune référence sur les propriétés des e-cigs (pas de déclaration sur l’e-liquide, les atomiseurs, la contenance de l’arôme liquide, le réglage de température etc.) Effectivement, l’objet de l’étude se concentre sur la recherche d’une relation entre « vapoter » et le tabagisme.

Et pour la CRUK l’existence de cette relation est une chose, mais dire que l’un entraîne l’autre en est une autre. Parmi les cas étudiés, l’institution n’a avancé aucune preuve sur l’effet à long terme ou même l’effet déclencheur. La presse anti-vape s’est pourtant ruée vers une interprétation démagogique comme à son habitude, mais avant de crier la CRUK a fait son retour sur la réalité évitant à la recherche toute forme d’étude décrédibilisée.

Autres données de l’étude

L’étude financée par la CRUK n’est qu’une partie des centaines d’études faites sur la vape et ses effets. Cette fois ci, l’objet de la recherche se base sur une analyse de la relation entre la cigarette électronique et le tabagisme. Et en l’occurrence, la lumière sur cette proximité a été faite par la King’s College London via le financement de la CRUK. Le cadre d’exécution de l’étude porte sur les jeunes non-fumeurs, fumeurs et vapoteurs. En gros, l’objectif est de rassembler assez d’informations sur le mode d’introduction du tabagisme de ces jeunes par rapport aux produits tabagiques, et non de déterminer celle qui est nocive ou beaucoup moins toxique.
En premier lieu, le constat est net car la plupart des jeunes contractent avec le tabac par le biais de ces éléments soit  en essayant la vape après avoir fumé ou vice versa. Après avoir déterminé ce lien, la CRUK a démontré par la suite que l’effet d'entraînement de ces matériels est très différent puisque le risque de dépendance entre les deux n’est pas semblable. En terme statistique, l’étude a recensé 118 cas (de personnes) qui essaient la cigarette sans être fumeurs contre 21 pour la cigarette électronique. Ce rapport démontre que vapoter n’est pas futile dans le sens où l’intérêt principal porte sur son rôle de sevrage, pour les fumeurs. Malgré le fait qu’il existe un risque réel entre la cigarette électronique et le tabagisme, le véritable ennemi de la santé publique reste la cigarette. Et paradoxalement, le fait d’utiliser une e-liquide santé, un clearomiseur, ou autres dérivés par un vapoteur peut réduire ce risque, à bon entendeur.

Dans le cadre de l’étude qui s’est basée sur une population anglaise, quelques données sont néanmoins prometteuses pour l’avenir des jeunes et des personnes dépendantes du tabac. Parmi les outils de sevrages existant au Royaume-Uni, l’e-cig a aidé plus de 18000 fumeurs dans le processus avec succès. Sachant que la loi en Grande Bretagne interdit aux mineurs la vente des cigarettes électroniques, et que la publicité en tout genre est bannie (loi TPD, flacon 10ml, étiquettes réglementé…), on pourra dire que le vapotage reste une arme contre la cigarette avant de devenir un outil de distraction.

 


J'accepte

Notre boutique utilise des cookies pour améliorer l'expérience utilisateur et nous considérons que vous acceptez leur utilisation si vous continuez votre navigation.

Expedié le jour même Si commande passé avant 13h
Livraison gratuite En colis suivi dès 29,99€
Tchat avec un conseiller Lun-Ven 9h30/12h-13h30/15h30
Programme de fidélité 5% de remise
J'accepte

Notre boutique utilise des cookies pour améliorer l'expérience utilisateur et nous considérons que vous acceptez leur utilisation si vous continuez votre navigation.