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Depuis l’introduction de la vape dans le marché mondial, les résultats ont été plus que suffisants pour constater son efficacité par rapport au sevrage tabagique. Il n’est pas encore question de miracle technologique faute de preuves scientifiques mais ce qu’on peut affirmer, c’est que la cigarette électronique est une arme de destruction massive contre la fumée cancérigène trouvée dans la cigarette, et que l’utilisation du matériel est le meilleur substitut pour se sevrer du tabac. Pour agrandir sa notoriété vers l’unanimité médicale, une nouvelle étude de l’Université du Michigan aux Etats-Unis a affirmé le potentiel salvateur de l’ecig en épargnant 3.3 millions d’années de vies humaines d’ici 2070.

Nicotine and Tobacco Research est une institution de recherche sur le tabac, au sein de l’Université du Michigan, menée par le professeur Kenneth E Warner et le professeur David Mendes. Ils ont récemment effectué une étude particulière concernant les effets dévastateurs de la cigarette et les différentes situations relatives à l’utilisation de la cigarette électronique. L’étude se base sur une extrapolation temporelle qui compare les effets probables (car il s’agit d’une simulation) d’une utilisation massive de l’e-cig par rapport à la vraie cigarette. Le résultat est plus que frappant car les deux chercheurs ont explicités que l’alternative au tabac, pourrait sauver plus de 3 millions d’années de vies d’ici 50 ans. C’est une vérité palpable lorsqu’on regarde le rythme de consommation du tabac actuel et son évolution, pourtant cela n’assure pas une contre-vérité qu’on ne peut pas nier, qui est celle de la « potentialité néfaste » du vapotage à long terme.

Fond et objectifs de la recherche

En tant qu’étude de simulation, les résultats estimés sont d’ordre analytique et sans assurances. Cependant, l’objectif de la recherche n’est pas de constater la suprématie de la cigarette électronique car le fond et la philosophie appliquée à cette dernière se détourne même des effets du vapotage ou des substances qui la constituent. Ce qui a été retenu, ce sont les chiffres, qui sont révélateurs et véridiques sur les effets à long terme du tabac, d’ailleurs la base de la recherche s’est fondée sur une statistique en tenant compte des stades d’addictions des fumeurs actuels, de leurs rythme de consommation de tabac, de l’initiation des jeunes, des effets sur la santé publique. L’option cigarette électronique danger ou pas, n’a été utilisée que pour exploiter les pistes possibles qui allègeraient les chiffres aveuglant de la réalité, qui citent actuellement plus de 500 000 morts par an à cause de la cigarette.

E-cig, allier actuel, futur ennemi ?

Tel est la question fondamentale que les curieux s’empressent de poser. Il faut reconnaitre que les études de cette envergure portent le débat autour des autres entités comme les combattants et les protecteurs de la vape. Cela peut faire tendre la balance d’un côté comme de l’autre, et d’un poids énorme. Concernant ce sujet, le professeur Kenneth E Warner a été plus que tranchant en évoquant un terrain inconnu. Selon lui, le principal problème actuel (et aussi durant ce siècle) restera la cigarette naturelle, et tout ce qui importe à ses yeux (à travers cette simulation) c’est de constater les effets d’allègement potentiels de l’application de la cigarette électronique. Il précise que « en attendant, nous avons une crise à gérer » en parlant de 500 000 morts/ans, ce qui insinue qu’avec ou sans cigarette électronique, arrêter de fumer reste la seule solution pour préserver votre santé (s’adressant aux fumeurs). Il rajoute ensuite que « nous devons travailler avec les meilleures preuves disponibles » en évoquant l’alternative au tabac la plus efficace du moment qu’est la vape. C’est à partir de là que l’étude a pris en compte les chiffres relatifs à son exploitation tout en gardant les risques en tête, et les résultats n’ont pas étés décevant car, employer la cigarette électronique comme meilleur substitut au tabac peut épargner plus de 3.3 millions d’années de vie (en tenant compte des éléments de preuve actuelle).

La vape, seule solution du moment

Comme l’a affirmé le professeur Warner, rien n’indique que la vapoteuse ne fera pas volte-face dans un futur proche. Il a même commenté cette probabilité en usant de tout le bon sens possible et évoque la comparaison avec la cigarette dans son temps. Effectivement, il ne se voile pas la face en disant que « nous avons de la chance de connaître les risques de la cigarette grâce aux décennies de recherche épidémiologiques », et insinue parallèlement le programme attendu avant de cerner complètement les environs du vapotage et de ses effets.
Cependant, l’heure n’est pas à la prédiction ni à la spéculation des éventuels risques inconnues, car jusqu’à preuve du contraire, la vape reste plus saine que la fumée de cigarette. C’est une donnée inébranlable puisqu’en 15 ans de pratique, aucun mort n’a été relié à l’effet du vapotage (sauf pour les accidents comme les explosions ou les incendies). Il est évident que l’inhalation des vapeurs produites par les aérosols n’est pas dénuée de toxines, mais à très faibles risques, pourtant l’action de passer de la fumette au vapotage reste la seule solution capable de réduire au maximum la fatalité de la cigarette.

Les risques encourus sont moins néfastes

Pour le professeur Mendes, le pragmatisme est tout aussi important dans cette recherche car le rapport de fatalité est très profond entre la cigarette et les e-cigs. Il réitère les éventuels problèmes liés à la vape comme l’initiation tabagique ou les toxines que peuvent receler les e-liquides. Il est vrai que la contenance en nicotine des liquides peuvent entraîner les jeunes à fumer, cependant c’est une donnée négligeable si on considère ses effets sur ceux qui sont déjà fumeurs. Concrètement, vapoter reste une alternative au tabac, il peut être qualifié comme « dangereux pour la santé », mais son action peut également limiter les dégâts du tabac du fait qu’il incite les gens à arrêter de fumer, ce qui veut dire : moins de malade et surtout moins de morts. Le message est donc clair concernant cette étude qui n’aborde nullement les propriétés techniques, ni les attributs chimiques des substances. Les chercheurs jouent la carte de la proéminence de la cigarette par rapport à l’e-cig en matière de fatalité et insère cette dernière comme moyen d’allègement de la situation dans les années à venir.


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