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Bien qu’il existe des pays qui sont fortement frileux des éventuels effets de la cigarette électronique sur la population, d’autres sont plus ouverts à la technologie de la vape et comptent même sur elle pour éradiquer le fléau de la cigarette, en incorporant ses vertus dans le cycle de rémission des fumeurs prisonniers de la nicotine.
C’est officiel, la Public Health England, une institution reconnue pour ses recherches et ses essais scientifiques a été choisie par le gouvernement anglais pour mener à bien les choix tactiques de la mission de sevrage tabagique des fumeurs. Elle est aujourd’hui le responsable du service exécutif de la DHSC ou Department of Health and Social Care (en gros de la santé publique) et compte bien utiliser la vape comme arme de combat contre le tabagisme en Angleterre.

L'État du tabagisme anglais alerte le gouvernement !

De nombreuses études sur la consommation et l’addiction au tabac, ont étés effectuées par diverses écoles et laboratoires. Statistiquement, les chiffres sont alarmants puisque le pourcentage des nouveaux fumeurs à partir des années 2000 a toujours augmenté malgré les restrictions faites à partir de la politique gouvernementale. Les jeunes sont les cibles préférés de la cigarette et une affluence constante est constatée 0.6 %/an avant l’arrivée de la cigarette électronique.

Aujourd’hui, ces chiffres sont plus stables et le tabagisme est réduit à la barre des 20% de la population globale (moins d’un adulte sur 5). Ce phénomène s’explique bien évidemment par la réussite des interventions législatives et des directives restrictives (interdiction de vendre aux mineurs, augmentation des taxes des industriels, limitation des zones fumeurs…). Cependant, la cigarette électronique a bien aidé les hommes du pouvoir avant de parvenir à cette fin, car sans elle aucune mesure n’aurait pu empêcher un tabagique d’arrêter de fumer. C’est bien connu, les patchs, les thérapies de groupes ou les consultations médicales ont des taux de réussite très faibles en matière d’aide au sevrage. Seul l’e-cig a réussi à changer l’avis des fumeurs par son intelligence matériel (e-liquide, arômes, pg, vg, alcool, température….) et fonctionnel (aérosol, vapeur, forme et sensations…), et cela vaut pour les fumeurs anglais comme le reste des fumeurs du monde. C’est un fait, et il doit être considéré de la manière la plus pragmatique possible.

La PHE introduit la cigarette dans les hôpitaux, une bonne idée ?

C’est par le bon sens que l’institution a révélé l’efficacité de cette politique. D’un point de vue objectif, Hôpital et cigarette (électrique ou pas) ne se marient pas très bien dans le subconscient. Car lorsqu’on parle de centre de santé, de bâtiment sanitaire ou autres départements dédiés au traitement des malades, tout ce qui peut concerner la cigarette et la nicotine n’est pas la bienvenue.

Pourtant, c’est cette attitude de préservation de la santé qui est exploitée par la DHSC pour sensibiliser les malades. Le message envoyé est clair et fort : pour arrêter le tabac, on peut commencer par passer à la cigarette électronique! Il n’est pas question de faire une quelconque promotion de l’e-cig et de ses caractéristiques mais d’inciter les tabagiques à opter pour la vape pour en échapper.
D’autre part, les hôpitaux sont des secteurs d’activités de services publics, qui imagent bien la politique gouvernementale. Ce que l’Etat laisse entrer dans les hôpitaux (ce qu’il autorise) reste légal et appuyé par sa politique. C’est une occasion bien opportune qui permettrait à la vape de s’imposer comme moyen (et non un médicament) de sevrage légitime et légal. Le fait est que, l’esprit et la pensée générale de la population soit en constante délibération quand il s’agit des e-cigs (est –ce légal ? est-ce sécurisé ? est-ce efficace ?....etc.). Parallèlement, l’action menée par les organismes anti-vapes est très agressive, ne laissant aucun choix au consommateur tenté d’essayer le nouvel appareil. Effectivement, le lobby anti-vape est très acharné, il ne permet pas au monde de la vape de prouver sa valeur par le biais des médias, des blogs, des recherches non fondées (souvent décrédibilisées) voire des mensonges.
Cette fois-ci, cette presse négative ne pourra plus crier sur les toits le caractère éphémère de la cigarette électronique, une fois que celle-ci ait été appuyée par le gouvernement et introduit dans les hôpitaux mêmes où le concept de zones fumeurs a été modifié. Dorénavant, vapoter à l’Hôpital par le biais des zones « friendly vape » est possible en Angleterre.

L’e-cig n’est ni un médicament, ni un traitement préconisé par les médecins

Là où le tabac passe, les organes trépassent, il est alors hors de question de cautionner l’e-liquide comme un sirop pour la nicotine ! Le personnel médical et l’administration anglaise se sont juste mis en termes sur l’opportunité d’appliquer la vape dans les Hôpitaux (vente et conseils, zones de vapotages) pour étendre une certaine sensibilisation aux fumeurs. Pour combattre le tabac, il faut également faire preuve de bon sens, et si c’est par l’injection de combustibles dans le feu qu’il faut pour arrêter tout, l’exécutif de la santé publique ne s’en privera pas. L’objectif de la PHE, est finalement de profiter du contexte hospitalier pour rapprocher les nécessiteux nicotiniques des cigarettes électroniques vu que ce soit le seul moyen de conviction perspicace.

En Angleterre il y a déjà plus de 3 millions de vapoteurs, et parmi eux, il y a une bonne moitié de fumeurs reconvertis. Sachant que l’e-cig présente 5% (substitut tabac moins nocif) de risques toxiques par rapport à la cigarette, elle n’est pourtant pas bénéfique pour la population aux yeux de l’Etat, cependant, si elle permet aux potentiels fumeurs de cigarette (à 95 % de risque) de passer à ce niveau (produits tabagique moins dangereux), ce serait déjà une très grande réussite. L’e-cig ne prétend pas être le remède suprême contre la cigarette mais elle est utilisée par l’Etat comme une arme alternative, et son application dans l’administration médicale (les Hôpitaux) ne relève pas de la médecine mais d’une politique stratégique qui aura une influence sur la consommation du tabac en général. Le principe part ainsi du fait que : à défaut d’éradiquer la dépendance en tabac, il vaudrait mieux opter pour sa réduction et la cigarette électronique est applicable sur ce cas de figure…. Une bonne leçon politique et psychologique qui peut influencer le gouvernement français, voire tous les pays du monde.


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