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Chaque année, une journée spéciale pour la lutte contre le tabac a été institutionnalisée par l’OMS afin de définir le cadre d’activité et de recueillir les informations sur l’état du tabagisme dans le monde. C’est une journée qui est érigée en action, pendant laquelle des sit-in, des sensibilisations et des mouvements en tout genre sont organisés afin de remettre en cause les dangers que peut apporter le tabac. En 2018, la lutte est loin d’être gagnée, malgré les efforts consentis par les innombrables organismes sous l’égide même de l’OMS. Toute institution, toute administration d’Etat et même les ONG sont participent dans cette quête salvatrice sans pour autant faire la différence du fait que le tabac semble de plus en plus fort, d’année en année.
Encore une fois, le 31 mai sera réservé à cette célébration de la lutte et ce sera l’occasion de déterminer de nouveaux axes de combats contre le tabac et ses dérivés. On se souviendra de la mise en place de l’initiative MPOWER de l’OMS en 2008 pour recadrer les lignes directrices de la politique internationale dans le but de maîtriser l’avancée de ce fléau, et la prochaine édition risque d’être déterminante sur l’évaluation du système.

Le tabac n’a pas reculé devant les balises

Malgré les interventions diversifiées mises en place par le MPOWER, l’expansion des produits du tabac n’a pas été limitée dans une large mesure. Les statistiques officielles affichent concrètement plus de 7 millions de morts recensés par année, avec une amplitude exponentielle qui se justifie par un ratio criant d’ 1 adulte fumeur sur 6 en seulement dix ans. C’est effectivement une donnée alarmante qui insinue l’inefficacité des programmes et du système mis en place. Par ailleurs, l’effet dévastateur du tabac ne déteint pas uniquement les fumeurs, car les chiffres rajoutent plus de 890 000 décès supplémentaires concernant les non-fumeurs. Ce sont des dommages collatéraux inacceptables qui démontrent l’impuissance des solutions passives comme la sensibilisation.

Des efforts considérables mais insuffisants

Il est certain que la guerre déclarée au tabac relève d’une autre paire de manches du fait que l’ennemi à abattre n’use pas de la force. Celui-ci ne s’attaque pas aux institutions, mais à la santé publique en empruntant un chemin économique et psychologique très élaboré qui ne peut être qualifié d’illégal. Il abuse de la fébrilité de la société de consommation qui se retrouve très vite en état de dépendance de par ses propriétés et limiter cet état physiologique revient à déclarer la guerre aux gens.
C’est dans cette ambiance particulière que l’OMS doit établir son plan d’action et prend en compte tous les axes que peut emprunter le tabac pour prendre de court la population. Aussi, la MPOWER résumée en Monitor, Protect, Offer, Warn, Enforce et Raise, agit contre la propagation du tabac en 2008. Ces termes sont les intitulés des activités à entreprendre pour limiter (dans une large mesure) toute expansion du monde du tabac.
Primo, l’application de ce programme recherche la protection de la population via un recadrage des lois qui normalisent la consommation du tabac. De nombreux décrets et lois communautaires ont été établis afin de limiter voire réduire les marges de manœuvres des personnes addicts au tabac. Ainsi, la promulgation de décisions sur l’interdiction de fumer dans les lieux publics comme les arrêts, les bureaux, les hôpitaux, les gares…. a été la première marche effectuée avec une réussite considérable surtout dans les pays qui disposent d’un cadre juridique bien établi.
Secundo, la gestion de la sensibilisation a été étudiée en profondeur. A notre ère, et surtout après les 50 années de combat contre le tabac, il existe encore des personnes ignorantes des effets néfastes du tabac. En 2009, on a recensé 38% de fumeurs Chinois qui ne conçoivent pas la relation entre la cigarette (le tabac en général) et les maladies cardio-vasculaires. A croire qu’en 50 ans de lutte, l’OMS n’a pas réussi à sensibiliser plus d’un million de fumeurs, de la nature dangereuse du tabac, d’autant plus qu’il s’agit d’une population évoluée où le système d’information n’a pas de déficit. C’est à partir de cet état des choses que le programme incorpore le « Warn » dans la liste des priorités.

Tercio, la sensibilisation n’a pas lieu d’être si le marché du tabac continue librement à marquer son territoire tout en visant une nouvelle clientèle. L’Enforce, est par conséquent l’arme choisie par l’OMS pour traiter ce dilemme. Il s’agit d’une action efficace sur la maitrise de la politique du produit des manufactures de tabac. C’est par la prohibition des publicités que l’Administration peut éventuellement réduire cette croissance de vente. Depuis, on a enregistré 7% de réduction de consommation par rapport à l’application de cette norme, effective dans 29 pays du monde. Bien que l’interdiction de faire de la publicité soit efficace, elle n’est pas efficiente pour autant du fait qu’il y a un nombre trop limité de pays qui appliquent le système. En gros, un pays sur trois hésite à appliquer d’une manière exhaustive la prohibition et cela pour des raisons économiques, sachant que les recettes fiscales liées au tabac apportent, une grosse part du budget national dans les pays sous-développés.

Quarto, l’action de prohibition a été accompagnée d’une mesure d’accompagnement qui s’oriente vers les consommateurs. Tant qu’à se lancer sur le terrain économique, la politique du programme de réduction du tabagisme agit dans les deux sens, côté vendeur et consommateur. L’augmentation des taxes aura un effet dissuasif sur la psychologie des fumeurs. Ces taxes surélevées limitent dans une large mesure l’accessibilité de la clientèle aux produits du tabac et malgré la nature drastique de ce système, on pourra s’attendre à une baisse des ventes dans les années à venir. Pourtant, la philosophie de l’opération n’est pas complète car le contexte de taxation ne renferme pas les autres possibilités de glissements vers d’autres produits encore plus dangereux (comme la drogue).

2018, l’année où l’e-cigarette peut briller !

Les chiffres ne mentent pas, 82 pour cent des fumeurs qui ont tenté de quitter le tabac avec l’e-cig ont réussi leur transition. Bien que les paramètres d’utilisation de ce produit ne soient pas encore matures face aux institutions, le matériel a fait ses preuves depuis longtemps. Par ailleurs, tous ces plans d’action dirigés par la société internationale coïncident avec les avantages que peut apporter la cigarette électronique sachant que celle-ci n’est pas mortelle, qu’elle peut être un produit de transition parfaite pour remplacer la cigarette, qu’elle ne soit pas aussi chère sur le rapport qualité/prix. Espérons que dans cette édition du 31 mai 2018, de nouvelles approches seront mises en œuvre et que l’e-cig entrera dans les plans des organismes internationaux pour vaincre ensemble le tabac.


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